Bases de données orientées objet (OODB) :
Ces bases de données arrivées
après les bases de données relationnelles permettent de stocker des
informations groupées sous forme de collections d'objets. On retrouve grâce à
cette organisation une structure équivalente au développement de programmes
orientés objets. Ces bases de données sont principalement utilisées pour la
gestion de données complexes.
Bases de données relationnelles (RDB) :
Les bases de données
relationnelles stockent des informations décomposées et organisées dans des
matrices appelées relations ou tables. Elles nécessitent une organisation et
une utilisation rigoureuse : Elles obéissent à des contraintes strictes comme
la contrainte d'intégrité référentielle ou la dépendance fonctionnelle. Les
liens existants entre les informations sont stockés dans les champs des
enregistrements (composants des n-uplets) sous forme de clé primaire et clé
étrangère. L'accès et la synthétisation
à n'importe quel lot d'informations se fait en composant des requêtes SQL (qui
est un langage à part entière).
NoSQL :
Le NoSQL (Not Only SQL, en
français Non SQL) s'oppose comme son nom l'indique au SQL. Le NoSQL est déjà
utilisé par des sites à fortes audiences tels que Google, Facebook ou encore
eBay. Le NoSQL, contrairement aux bases de données relationnelles ne
correspondent à aucun schéma spécifique (aucune relation) et peuvent donc
s'adapter facilement à de nouveaux besoins. Cela rend le NoSQL plus libre, avec
moins de contraintes, ce qui permet d'obtenir de meilleure performance.
Contributeurs :
Raphaël Amourette Marjorie Cartillier
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