mardi 22 novembre 2011

Confrontation entre 3 modèles de gestion des données


Bases de données orientées objet (OODB) :

Ces bases de données arrivées après les bases de données relationnelles permettent de stocker des informations groupées sous forme de collections d'objets. On retrouve grâce à cette organisation une structure équivalente au développement de programmes orientés objets. Ces bases de données sont principalement utilisées pour la gestion de données complexes.

Bases de données relationnelles (RDB) :

Les bases de données relationnelles stockent des informations décomposées et organisées dans des matrices appelées relations ou tables. Elles nécessitent une organisation et une utilisation rigoureuse : Elles obéissent à des contraintes strictes comme la contrainte d'intégrité référentielle ou la dépendance fonctionnelle. Les liens existants entre les informations sont stockés dans les champs des enregistrements (composants des n-uplets) sous forme de clé primaire et clé étrangère.  L'accès et la synthétisation à n'importe quel lot d'informations se fait en composant des requêtes SQL (qui est un langage à part entière).

NoSQL :

Le NoSQL (Not Only SQL, en français Non SQL) s'oppose comme son nom l'indique au SQL. Le NoSQL est déjà utilisé par des sites à fortes audiences tels que Google, Facebook ou encore eBay. Le NoSQL, contrairement aux bases de données relationnelles ne correspondent à aucun schéma spécifique (aucune relation) et peuvent donc s'adapter facilement à de nouveaux besoins. Cela rend le NoSQL plus libre, avec moins de contraintes, ce qui permet d'obtenir de meilleure performance.

Contributeurs :

Raphaël Amourette
Marjorie Cartillier

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