lundi 5 décembre 2011

Oracle lance MySQL 5.6, plus rapide, scalable et adaptée aux Cloud Computing grâce à une nouvelle API NoSQL


MySQL 5.6 : Oracle améliore le moteur de stockage InnoDB

Oracle a mis à jour sa base de données pour l'adapter aux enjeux du Cloud Computing.

Une version de test de MySQL 5.6 a été dévoilée par Oracle. Elle promet plus de rapidité et de scalabilité*.
(Désigne la capacité d'un produit à s'adapter à un changement d'ordre de grandeur de la demande en particulier sa capacité à maintenir ses fonctionnalités et ses performances en cas de forte demande).

L’éditeur indique avoir optimisé son serveur de données pour l’adapter à une exécution, pour des applications Web fortement transactionnelles, au sein des systèmes de Cloud Computing*.
(Concept qui consiste à déporter sur des serveurs distants des traitements informatiques traditionnellement localisés sur des serveurs locaux ou sur le poste client de l’utilisateur).
                       
Parmi les évolutions qu’il met en avant, le groupe indique avoir amélioré la performance de l'optimisateur des requêtes, ainsi que les dispositifs de partitionnement des données mais aussi de réplication (avec une meilleure gestion de l’intégrité des données et des erreurs éventuelles).
 

Le moteur de stockage
 InnoDB a également été retravaillé. Il introduit une persistance lors de la génération des statistiques de l’optimiseur, et un cache de dictionnaire de données configurable. Enfin, Oracle invite la communauté à tester la prise en charge de NoSQL* pour l’accès à InnoDB.  
(
 NoSQL est une catégorie de SGBD destinés à manipuler des bases de données géantes pour des sites web de très grande. Cette catégorie de produits fait le compromis d'abandonner certaines fonctionnalités classiques des SGBD relationnels au profit de la simplicité, la performance et une scalabilité élevée).

Une nouvelle API offre un accès « NoSQL-like » au moteur InnoDB via le protocole Memcached.    
Les services web pourront donc accéder aux données sans devoir transformer leurs requêtes en SQL, réduisant ainsi le temps de latence et augmentant les débits de lectures/écritures.


Contributeurs :

Guerin Jean-Baptiste
Pereira Jonathan

mardi 29 novembre 2011

PostGreSql un SGBD pas comme les autres


Depuis que MySQL a été racheté par Sun, MySQL n'a pour ainsi dire peu ou pas évolué. Il suffit de se pencher sur quelques articles liés au sujet pour s'en convaincre. On peut penser que le rachat de Sun par Oracle n'arrangera pas les choses. En effet la plupart des développeurs "Open Source" se sont retirés du projet. MySQL est à présent maintenu en grande majorité par des utilisateurs qui font évoluer des projets chez avec peu de moyens.
PostGreSql, lui, est un système Open Source non propriétaire, existant depuis maintenant
une quinzaine d'années, qui gère des bases de données relationnelles .
Il est mis à jour régulièrement et est réputé pour la fiabilité, l'intégrité des données stockées.
Il fonctionne sous le même principe que MySql, sauf que lui est resté Open Source.
En revanche MySql est mieux loti du côté des extensions qui sont gratuites chez lui, en effet PostGreSql dispose de moins d'extensions et certaines sont payantes.

Mais il dispose d'avantages que n'a pas MySql :

- Avec la version 9.1, PostGreSql a inventé et mise en place la réplication synchrone,
- Avec cette même version, PostGreSql peut maintenant géré l'isolation des transactions avec l'implémentation
du niveau sérialisable,
- Il a plus de types de données et l'ont peu les personnaliser,
- Il a des Triggers complets (déclencheurs de script).

On sait que le marché de la base de données dans le monde est estimé a 26 Milliards de dollars annuel.
Aujourd’hui PostgreSQL propose un jeu de fonctionnalités inégalé par les produits commerciaux : ils ne leur reste plus tellement d’avantage compétitifs, même sans parler coûts de licence.
De plus, le support de la communauté est imbattable : Bruce Momjian, pionnier du projet, membre de la core-team, l’a très clairement démontré lors de la dernière conférence qui a eu lieu à Amsterdam il y a deux semaines. En plus de 10 conférences par ans depuis 15 ans il a rencontré beaucoup d’utilisateurs. La plupart ont la même expérience : les bugs soumis au projet sont le plus souvent corrigé dans les 24h, parfois en une semaine. Bruce n’a encore rencontré personne ayant du attendre plus d’un mois avant de bénéficier d’un correctif.

On peut donc conclure que PostGreSql est un SGBD fiable, Open Source, non propriétaire et surtout qu'il est très innovant, si vous avez besoin de bases de données professionnels : fiables et évolutives, n'hésitez plus, utilisez PostGreSql.

Contributeurs :

Demester Antoine
Teixeira Gerald

jeudi 24 novembre 2011

Microsoft migration de MySQL vers SQL Server et Azur


Microsoft peaufine ses outils de migration de base de données en mettant à jour les logiciels de migration des bases Oracle, Sybase, Access et MySQL vers SQL Server et SQL Azure, son service Cloud. Dévoilé en version de test dès le début de l’année 2010, cet utilitaire de Microsoft vise à automatiser et simplifier la migration d’un SGBD MySQL ou autre vers SQL Server et/ou le service de Cloud de l’éditeur, à savoir SQL Azure. 
L’outil de migration est un composant d’un ensemble d’utilitaires, SQL Server Migration Assistant (SSMA), désormais en version 5.1. SSMA for MySQL v1.0 est compatible avec le SGBD Open Source à partir de la version 4.1.
La boîte à outils vient compléter les logiciels de migration existants de Microsoft. Ainsi SSMA pour Access, Oracle et Sybase sont à présent en version 4.2. La mouture offre notamment la prise en charge des dernières versions des technologies Access, Oracle et Sybase : Oracle 11g R2, Sybase 15.5 et Access 2010.
SSMA permet aux DBA d’effectuer une migration vers les solutions Microsoft (SQL Server 2008 ou SQL Server 2005), y compris vers la dernière version de SQL, SQL Server 2008 R2, mais aussi vers l’édition en ligne, le service de Cloud Computing SQL Azure.

Contributeurs :

Loic Mathey
Edouard Baudin

mardi 22 novembre 2011

Confrontation entre 3 modèles de gestion des données


Bases de données orientées objet (OODB) :

Ces bases de données arrivées après les bases de données relationnelles permettent de stocker des informations groupées sous forme de collections d'objets. On retrouve grâce à cette organisation une structure équivalente au développement de programmes orientés objets. Ces bases de données sont principalement utilisées pour la gestion de données complexes.

Bases de données relationnelles (RDB) :

Les bases de données relationnelles stockent des informations décomposées et organisées dans des matrices appelées relations ou tables. Elles nécessitent une organisation et une utilisation rigoureuse : Elles obéissent à des contraintes strictes comme la contrainte d'intégrité référentielle ou la dépendance fonctionnelle. Les liens existants entre les informations sont stockés dans les champs des enregistrements (composants des n-uplets) sous forme de clé primaire et clé étrangère.  L'accès et la synthétisation à n'importe quel lot d'informations se fait en composant des requêtes SQL (qui est un langage à part entière).

NoSQL :

Le NoSQL (Not Only SQL, en français Non SQL) s'oppose comme son nom l'indique au SQL. Le NoSQL est déjà utilisé par des sites à fortes audiences tels que Google, Facebook ou encore eBay. Le NoSQL, contrairement aux bases de données relationnelles ne correspondent à aucun schéma spécifique (aucune relation) et peuvent donc s'adapter facilement à de nouveaux besoins. Cela rend le NoSQL plus libre, avec moins de contraintes, ce qui permet d'obtenir de meilleure performance.

Contributeurs :

Raphaël Amourette
Marjorie Cartillier

lundi 21 novembre 2011

Oracle lance sa base NoSQL


Le 24 octobre 2011, Oracle annonce la disponibilité d'Oracle NoSQL Database. Cela va permettre d'accéder à la technologie NoSQL tout en bénéficiant d'un support professionnel.
Ce nouveau système d'Oracle va permettre de gérer plus facilement les grandes bases de données avec des schémas dynamiques comme par exemple les journaux de sites web ou les données de réseaux sociaux.
Grâce à la simplicité, la disponibilité et une extrême évolutivité, cela va permettre de stocker des données plus facilement et dans un format plus souple que le SQL traditionnel. Cela contribue pour les développeurs à une solution efficace et rapide du développement des applications.
Avec son système, Oracle propose un système plus intuitif que ce soit dans l'installation, la configuration ou l'utilisation.
Oracle proposera également Oracle Big Data Appliance, un nouveau système intégré optimisé pour l'exécution d'Oracle NoSQL Database et qui sera disponible début 2012.
Lien de téléchargement : https://emeapressoffice.oracle.com/Press-Releases/Oracle-annonce-la-disponibilit%C3%A9-d-Oracle-NoSQL-Database-24d8.aspx

Contributeurs :


Kévin Richard
Mickaël Gondcaille

dimanche 20 novembre 2011

NimbusDB, une base de données élastique dans le Cloud


    La start-up mise tout sur le développement d’un nouveau système de base de données SQL et ambitionne de révolutionner le marché car le marché de la base de données est en pleine effervescence avec l’apparition du Cloud Computing.
    Pour les dirigeants de NimbusDB, construire  un nouveau système de bases de données relationnelles SQL en partant de zéro est essentiel afin de satisfaire les attentes des utilisateurs. Ainsi est née NimbusDB, un système de base de données SQL sous modèle de transaction sécurisée.
    L'architecture de NimbusDB ne repose sur aucun matériel en particulier car tout est dans le Cloud. Le soft s'installe simplement sur un serveur pour assurer ensuite un pont vers le Cloud.
    Si la solution de NimbusDB n'est pas encore vendue, elle est déjà testée intensivement chez plusieurs clients. Le produit est presque complet et sa commercialisation ne saurait tarder. Une version gratuite, et parfaitement fonctionnelle est d'ailleurs disponible en téléchargement. Baptisée « Duet », elle se limite à deux machines, une pour accueillir le module transaction, l'autre pour héberger les archives. La version Quartet (quatre machines donc serveurs ou VM) sera commercialisée quelques milliers de dollars.

Contributeurs :
Didi Mehdi
Sok Vincent

samedi 12 novembre 2011

INTERSYSTEMS CACHE COMME ALTERNATIVE AUX BASES DE DONNEES RESIDENTES EN MEMOIRE


Pour dépasser les limites de performances des bases de données relationnelles traditionnelles, les applications  utilisent souvent des bases de données résidentes en mémoire pour accélérer leurs accès aux données. Bien que les bases de données résidentes en mémoire et les produits basés sur les caches
mémoire améliorent la bande passante, ils souffrent d’un certain nombre de limites dont le manque de support pour les grands ensembles de données, des besoins excessifs en matériel, et des limites en matière d’évolution.
InterSystems Caché® est une base de données objets à hautes performances, disposant d’une architecture unique, qui la rend appropriée pour des applications qui normalement utiliseraient des bases de données résidentes en mémoire. Les performances de Caché sont comparables à celles des bases de données résidentes en mémoire, mais de plus Caché offre :
-  la persistance
- les données ne sont pas perdues à l’arrêt ou au crash de la machine
- un accès rapide à de vastes ensembles de données
- la possibilité de gérer jusqu’à plusieurs centaines d’ordinateurs et centaines de milliers d’utilisateurs
- accès simultanés aux données via SQL et les objets : Java, C++, .NET.


Contributeur :

F.Granotier

mercredi 9 novembre 2011

Une base de données "service a la demande" par VMware


Pour  une place parmi les leaders des bases de données, comme Microsoft avec SQL Azure ou SalesForce avec Database.com,VMware se doivent d'avoir des atouts convainquent .


 Avec la participation de vFabric Data Director, il semblerait que Vmware ait décidé de créer une nouvelle base de données « service a la demande »
Vmware propose d'utiliser le cloud de façon à gérer automatiquement tout type de bases de données, ainsi que les adapter de façon dynamique, afin d’optimiser l’usage de la mémoire.
Face à une multiplication de bases de données, VMware permet de maîtriser cette expansion de base de données, tout en améliorant leur efficacité.
Pour l'instant la base de données nommée vFabric Data Director, et destinée uniquement à vFabric Postgres, une version de PostgresSQL
VMware prévoit néanmoins d’étendre son modèle à toutes les bases de données du marché.

Contributeurs :

Sacommani Julien
Berthier Remy

La sécurité et les bases SQL dans le Cloud inquiètent les développeurs


Durant la conférence Zend PHP du 20/10/2011 à Santa Clara, des questions concernant la sécurité du Cloud computing avec l'utilisation de bases SQL ont été abordées. En effet, ceci reste une préoccupation de premier ordre pour tous les développeurs. IBM et Amazon Web Services se sont donc penchés sur ce problème.

Ayant les moyens d'investir sur le long-terme et disposant de certifications reconnues, Amazon assure que la sécurité ne constitue pas un problème majeur pour eux. De son coté, IBM pense que les sécurités proposées par un fournisseur d'infrastructure suffisent au bon fonctionnement de la base de données. Les Clouds seraient même, selon IBM, parfois mieux sécurisés que les systèmes installés sur site.
               
Rackspace Cloud pense que malgré la sécurisation des Clouds, l’utilisation des bases de données SQL n’est pas faite pour eux. La quasi-totalité des problèmes que le SQL rencontre sont considérés comme des inconvénients et des limites pour le Cloud. Le problème selon Rackspace Cloud vient du fait de stocker des données en ligne, plus que l’utilisation du SQL. 



Contributeurs :


Khalilou BA
Joël ANDRIAMAROANDRAINA.

dimanche 6 novembre 2011

"NoSQL" ou “Not Only SQL”

Avec l’essor des grandes plateformes web, le volume de données à gérer par les applications a explosé, et les systèmes de gestion de données traditionnels, relationnels et transactionnels, basés sur le langage SQL, ont montré leurs limites.

Depuis quelques années, de nouvelles approches du stockage et de la gestion des données sont apparues, qui permettent de s’astreindre de certaines contraintes, en particulier de scalabilité, inhérentes au paradigme relationnel. Regroupées derrière le vocable NoSQL, ces technologies auraient très bien pu être nommées “NoRel” comme le suggère lui même l’inventeur du terme NoSQL, Carl Strozzi.

Plus que des technologies de remplacement intégral des outils relationnels, le NoSQL correspond le plus souvent à des approches qui complètent les outils existants, pour en combler les faiblesses. Ainsi, on observe de plus en plus souvent la traduction “Not Only SQL” au lieu de “No SQL”.

Ces technologies, portées par des acteurs majeurs du Web comme Google, Facebook, Twitter, ont rapidement acquis une légitimité réelle dans le domaine de la manipulation de volumétries.

Contributeur :

F.Granotier

samedi 15 octobre 2011

Une nouvelle offre App Engine nommée Google Cloud SQL proposée par Google


Google App Engine signifie moteur d’applications de Google. C’est une plateforme hébergée dans le Cloud c’est à dire dans un datacenter spécialement construit à cet effet. Microsoft permet ainsi aux développeurs de créer un site internet reposant sur les architectures de Google.

Cette offre « Google Cloud SQL » est disponible en Beta gratuite sur invitation. Elle correspond à une base de données relationnelle MYSQL en environnement Cloud.
L’avantage de son offre assure Google est de pouvoir se concentrer sur le développement de logiciels en se libérant de la gestion des bases de données relationnelles.
En plus du zéro-maintenance et zéro-administration, Google promet une haute fiabilité et disponibilité puisque les données seront répliquées de manière synchrone sur plusieurs centres de données.
 Environnement familier base de données MySQL avec le support de JDBC (pour les applications Java App Engine) et DB-API de soutien (pour Python applications basées sur App Engine).
D’après Google, les tarifs du service Cloud SQL devrait être publiés assez rapidement.

Contributeur :
F.Granotier

lundi 10 octobre 2011

Les bases email de nombreuses entreprises américaines piratées


Le fournisseur marketing d’emails Epsilon a déclaré  le 1er avril 2011, dans un communiqué officiel, avoir été victime de piratage. La compagnie, qui compte parmi ses clients des banques ainsi que de grandes sociétés américaines, s’est vue dérober une partie de ses bases de données les concernant.
Epsilon, filiale  d’Alliance Data Systems, est le leader mondial du marketing sur internet (plus de 40 milliards d'offres envoyées chaque année). Parmi ses clients, Epsilon compte de nombreuses entreprises de renom ainsi que des banques.
Le leader du marketing annonce que seul les noms et les adresses email des clients ont été hackés.
Liste de quelques sociétés clientes dont les données ont été impactées par l'intrusion:
·        Best Buy
·        Capital one
·        Disney Destinations
·        Ritz-Carlton Rewards
·        AbeBooks
·        Lacoste
·         JP Morgan (banque)

Impact ?
Les informations volées (adresses email et noms) peuvent être vendues aux concurrents d’Epsilon sur des portais dédiés pour ce type de transactions.
De nombreuses entreprises dont les données ont été touchées par l'attaque ont immédiatement entamé des campagnes de communication et de sensibilisation auprès de leur clientèle.

Contributeurs :
Jérémy Bonnet
Jonathan Martin

Sécurité et risques sur le SGBD.


Les bases de données sont des composants incontournables des serveurs web et des applications en ligne qui fournissent du contenu dynamique. Des données secrètes ou critiques peuvent être stockées dans les bases de données : il est donc important de les protéger efficacement.

Les mécanismes permettant la sécurité des base de données :
L’authentification est le processus qui permet de contrôler l’identité de l’utilisateur et qui assure donc une sécurité. Le principe de cette authentification est de, généralement, taper son nom d’utilisateur ainsi qu’un mot de passe. Mais cette authentification peut être implicite et héritée d’une authentification précédente, ou reconnue automatiquement (@IP du user sur le réseau par exemple). Cependant, ce choix peut s’avérer être dangereux.

Quelques principales menaces :
·         Blackdoors (portes dérobées) : Dans un logiciel, une porte dérobée est une fonctionnalité inconnue de l'utilisateur légitime, qui donne un accès secret au logiciel. L'introduction d'une porte dérobée dans un logiciel à l'insu de son utilisateur transforme le logiciel en cheval de Troie.
·         L’injection SQL : type d'exploitation d'une faille de sécurité d'une application interagissant avec une base de données, en injectant une requête SQL non prévue par le système et pouvant compromettre sa sécurité. Par exemple, imaginons que le script PHP exécutant cette requête ne vérifie pas les données entrantes pour garantir sa sécurité, Un hacker pourrait alors fournir les informations suivantes :
Utilisateur : Dupont' --
Mot de passe : n'importe lequel
La requête devient :
        SELECT uid WHERE name = 'Dupont' -- ' AND password =
        '4e383a1918b432a9bb7702f086c56596e';
Les caractères -- marquent le début d'un commentaire en SQL. La requête est donc équivalente à :
                SELECT uid WHERE name = 'Dupont';
L'attaquant peut alors se connecter sous l'utilisateur Dupont avec n'importe quel mot de passe. Il s'agit d'une injection de SQL réussie, car l'attaquant est parvenu à injecter les caractères qu'il voulait pour modifier le comportement de la requête.

Leur sécurité n'est pas toujours maîtrisée. De nos jours,  le vol de numéros de cartes bancaires ou encore de données personnelles sont souvent à la une des journaux, ce qui démontre bien que le SGBD est au centre de ces évènements. Protéger une base de données est une tâche simple, mais qui peut s’avérer complexe si on veut le faire de manière exhaustive et sans impacter la stabilité. Mais cette sécurisation passe avant tout par la prise en compte des particularités et des spécificités de la base par les Directions des Systèmes d’Information de l’entreprise. Plus de 250 failles ont été répertoriées chez Oracle, 130 sur MySQL et 80 sur Microsoft SQL Server. Parmi celles-ci, il n’est pas rare de trouver des failles permettant la prise de contrôle à distance du SGBDR par le réseau. Cependant, Oracle a mis l'accent sur l'amélioration du login et du compte utilisateur pour mieux protéger les données. Les comptes utilisateurs disposent désormais de paramètres d'expiration avancés qui permettent de verrouiller un compte au-delà d'une date déterminée, ou de ne permettre l'accès aux données qu'à des heures précises de la journée.
Contributeurs :

Maryline Rodet 
Marlène Vixaysakd

mardi 4 octobre 2011

MySQL SGBD du package EASYPHP




     EasyPHP  est le premier package WAMP  (acronyme signifiant Windows, Apache, MySQL et PHP) qui voit le jour en 1999. C’est une plateforme de développement Web, qui permet  de faire fonctionner localement (sans se connecter à un serveur externe) des scripts PHP
     Il s’agit d’un environnement comprenant :
  •      deux serveurs :
    •      un serveur web : Apache
    •      un serveur de bases de données : MySQL 
  •      un interpréteur de script (PHP) 

MySQL est un système de gestion de base de données relationnelle. 
Il permet de stocker les données dans des tables séparées plutôt que de tout rassembler dans une seule table. Une base de données relationnelle améliore la rapidité et la souplesse de l'ensemble.
Le serveur de bases de données MySQL est très rapide, fiable et facile à utiliser.

MySQL, est un des serveurs de bases de données SQL Open Source les plus utilisés .
Open Source (Standard Ouvert) signifie qu'il est possible à chacun d'utiliser et de modifier le logiciel. Tout le monde peut télécharger MySQL sur Internet, et l'utiliser sans payer aucun droit.
Le logiciel MySQL utilise la licence GPL (La Licence publique générale GNU, ou GNU General Public License est une licence qui fixe les conditions légales de distribution des logiciels libres ( gratuit)  du projet GNU), pour définir ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire avec ce logiciel.
MySQL Server fonctionne en mode client/serveur ou en système embarqué.

Contributeurs :
Audrey Arrot
Magali Botz

lundi 3 octobre 2011

Facebook veut ouvrir sa base de données aux entreprises



Facebook  a  pour projet, à long terme de vendre certaines informations de leur base de données à des sociétés privées de types commerciales pour pouvoir démarcher/toucher plus facilement le client.
Ce réseau social compte aujourd’hui plus de 600 millions d’inscrits. 
 
A long terme Facebook doit trouver un moyen de financer leur projet, c’est pourquoi Facebook va vendre certaines informations aux entreprises qui le souhaitent. Elles vont pouvoir proposer des questionnaires pour mener à bien leur campagne publicitaire.

Les entreprises ayant acheté ces informations à Facebook, vont pouvoir démarcher l’utilisateur sous forme de sondages à un panel précis d’utilisateurs. Aucune donnée n’est dévoilée individuellement les entreprises de publicité ne peuvent obtenir que le nombre global des personnes sondées qui correspondent aux critères. 
Les entreprises peuvent obtenir des informations sur : 
* la sexualité, 
* le niveau d’études,
* les emplois occupés, 
* la religion

Certains utilisateurs peuvent trouver de quoi se plaindre dans le fait que Facebook dévoile aux entreprises certaines de leurs données personnelles. 

Pourtant, dans sa charte, Facebook a signé un contrat avec les utilisateurs.

Contributeurs :

Fabien Besancon
Antoine Chomel

dimanche 25 septembre 2011

LizaMoon : Attaque SQL de grande ampleur


Une attaque repérer le 29 mars. Elle touche les bases de données des sites web en injectant du code SQL malveillant. Cette attaque de propageant à grande vitesse, plus de 500.000 Url aurait été infectées.
Cela pourrait bien être la plus grande attaque par injection SQL jamais vu. Depuis le 29 mars des milliers de site web sont infectés par un code malveillant introduit dans leur base de données.
L’éditeur de solutions de sécurité WebSense, a repéré cette attaque, qu’ils ont baptisé « LizaMoon » en raison du premier nom de domaine vers lequel les victimes ont été redirigées. Les internautes qui visitaient le site contaminé été redirigés vers une page les avertissant de la présence d’un malware sur leur ordinateur, qui leur proposait les services d’un faux antivirus payant.
Par qui : Par des personnes souhaitant nuire aux autres via l’informatique.
Pour qui : Toute personne possédant une base de données.
 Où : Partout sur internet.
Quand : Depuis le 29 mars 2011. L’éditeur WebSense n’est pas vraiment optimiste quant à l’éradication de cette menace. Une attaque similaire de moins grande ampleur avait déjà eu lieu en 2009.
Comment :  WebSense a indiqué avoir été prévenu par des personnes qui avaient détecté ce code malveillant dans leur base de données Microsoft SQL Server 2003 et 2005. Ce serait apparemment une simple ligne de code injecté dans le site et qui déclenche une redirection vers une page piégée.
Pourquoi : Pour récupérer des données sur les ordinateurs des victimes. Mot de passe, données bancaires, etc…

Contributeurs :
Joris Escoffier

Matthieu Grimal 

lundi 19 septembre 2011

Formations et métiers dans le domaine des bases de données


Missions
L’administrateur de base de données a pour mission de créer  des logiciels qui vont permettre de stocker puis organiser toutes les données d’une entreprise. Ces données doivent être protégées, donc il doit être au point en matière de sécurité informatique car souvent ces données sont confidentielles et importantes. Il doit aussi faciliter l’accès aux utilisateurs aux données et gérer les droits d’accès.

Où travailler ?
L’administrateur de base de données peut travailler dans une grande entreprise ou alors dans une société de service (SSII) ou encore chez un éditeur technique.

Compétence requise
Il doit posséder certaines compétences techniques tel qu’une connaissance du réseau informatique, les langages de programmations pour la base de données comme SQL ainsi que les principales bases de données.
Il faut aussi des aptitudes comme la rigueur et la méthode, un bon sens de l’organisation et être curieux.

Formation
Les formations de Bac +3 (licence) à Bac +5 (Master ou Ingénieur)
Les entreprises recrutent plutôt des bacs +4/5, pour les BTS la licence pro est conseillé.

Contributeurs :
Antoine Durdux
Auguste Scheibli 

mardi 30 août 2011

samedi 9 juillet 2011

Le BTS Services informatiques aux organisations succède au BTS Informatique de gestion

Le contenu est repensé, les ambitions sont réévaluées. Le BTS SIO est conçu pour permettre aux diplômé-e-s d’évoluer dans leurs études et dans leur métier.
En BTS SIO, les étudiants acquièrent bien sûr des connaissances, des compétences et des savoir-faire, techniques et aussi relationnels. Tout au long de leur cursus, ils « apprennent à apprendre », pour évoluer ensuite dans leur métier ou dans les études qu’ils poursuivront. L’informatique est un secteur très évolutif.


Administrateur et
Développeur assurent aussi une veille technologique permanente sur les produits et logiciels du domaine. Les activités du technicien nécessitent un dialogue permanent avec les utilisateurs, le service informatique central, les gestionnaires et les décideurs.